À la mort de son fondateur, en , Christian Bourgois, son directeur général, reprend les éditions Julliard. Elles sont rachetées peu de temps après par les Presses de la Cité.
La société a été dissoute le et radiée le [1]. La marque a été reprise par les Éditions Robert Laffont dont elle est devenue un département[2].
À la mort de son fondateur, en , c’est Christian Bourgois, déjà directeur général, qui reprend les éditions Julliard. Elles sont vite rachetées par les Presses de la Cité. Christian Bourgois créera sa propre maison d’édition en 1966.
Les éditions Julliard reprennent vie lorsqu’en 1988, Christian Bourgois décide d’embaucher Élisabeth Gille directrice littéraire. Ils cherchent et publient alors de nouveaux talents, tels Lydie Salvayre et Régine Detambel, mais aussi de grands noms des éditions Julliard, comme Françoise Sagan.
Christian Bourgois et Élisabeth Gille quittent l’éditeur en début de l'année 1992, à la suite de désaccords internes aux Presses de la Cité. François Bourin leur succède jusqu'en 1995. Il publie, entre autres auteurs, Éluard, le poète de la liberté de Violaine Vanoyeke.
Ils continuent à se consacrer à la découverte de jeunes auteurs grâce aux succès publics devenus aujourd'hui internationaux de Jean Teulé, Yasmina Khadra, Mazarine Pingeot, Jean-Marie Gourio, Philippe Besson, Lionel Duroy. Ils développent également des liens privilégiés avec le cinéma. C'est ainsi que Ce que le jour doit à la nuit, ou L'Attentat de Yasmina Khadra, tout comme Le Magasin des suicides de Jean Teulé ont été portés à l'écran, ainsi que L'Eau des Fleurs de Jean-Marie Gourio. Beaucoup d'autres titres sont en cours d'adaptation.
Depuis le rachat par les Éditions Robert Laffont, la commercialisation des collections a été confiée à Sogedif[4] du groupe Editis.
En 2019, Vanessa Springora reprend la direction à Barrault et Mialet[5], qui rompent avec le groupe pour fonder leur propre maison[6].