« Les religieux de Citeaux renv[oient] de jure les novices démontrés lépreux par l'épreuve », mais c'est selon une disposition générale à l'égard des lépreux « qui ne vise pas la contagion, mais l'aggravation des charges qui pourrait résulter de leur entretien[2] ».
Fondation de la léproserie d'Avallon, en Bourgogne, établissement qui sera réuni au collège de la ville en , et dont les bâtiments accueillent aujourd'hui le musée de l'Avallonnais[4].
ou 1194 : une léproserie Saint-Lazare est attestée à Semur, en Auxois[5].
Publication
Averroès publie la deuxième version de son Kitab al-kulliyat fil-tibb (« Livre des généralités sur la médecine »), également connu sous le titre de Colliget et dont la première version date de [6].
↑André Moreau-Néret et Marcel Leroy, « Les Maladreries de la région de Villers-Cotterêts et le Comte lépreux Raoul de Crépy », Mémoires de la fédération des sociétés d'histoire et d'archéologie de l'Aisne, vol. 16, 1re partie « Les Mesures prises contre la lèpre au Moyen-Âge et les Léproseries du département de l'Aisne », , p. 138 et 140 (lire en ligne).
↑Édouard Jeanselme, Comment l'Europe au Moyen-Âge se protégea de la lèpre : Rapport présenté au VIIIe congrès international d'histoire de la médecine à Rome, 2e éd. revue et corrigée (extrait du Bulletin de la Société d'histoire de la médecine), Paris, (lire en ligne), p. 108.
↑« Mortagne-au-Perche », Section de l'Orne, Société des membres de la Légion d'honneur, [lire en ligne (page consultée le 24 novembre 2020)].
↑Francis Molard et al., « Hopital d'Avallon », dans Inventaire sommaire des archives du département de l'Yonne antérieures à 1790, t. IV, Auxerre, (présentation en ligne), p. 79-80 et 232-234.
↑Bernard Lauvergeon et al., « Maladrerie, léproserie, chapelle Saint-Lazare », dans Inventaire général du patrimoine, Bourgogne-Franche-Comté, (lire en ligne).
↑David Aubin (dir.), Néstor Herran (dir.), Hélène Gaget et al., Histoire des sciences : Des origines à nos jours, Paris, Hatier, coll. « Bescherelle / Chronologie », , 384 p. (ISBN978-2-401-06063-0, lire en ligne), p. 74 : « 1166 : Averroès achève son encyclopédie médicale ».
↑Eliakim Carmoly, Histoire des médecins juifs anciens et modernes, vol. 1, Bruxelles, Société encyclographique des sciences médicales, , VIII-272 p. (lire en ligne), p. 81.
↑Samuel Kottek, « Nahmanide, médecin (1174-1270) », Revue d'histoire de la médecine hébraïque, vol. 18, , p. 23-28 (présentation en ligne).
↑ a et b(es) Orlando Mejía Rivera, La medicina arcaica : De las enfermedades prehistóricas a los papiros médicos del Antiguo Egipto, Editorial Universidad de Caldas, , 448 p. (ISBN978-958-759-111-8, lire en ligne).