A Milan, un groupe de jeunes aristocrates influencés par les Lumières constituent autour de Pietro Verri et Cesare Beccaria un cénacle baptisé I pugni (les poings) et publient de 1764 un journal, Il Caffè, qui s’attaque au conformisme et à l’académisme.
L'historien allemand Johann Joachim Winckelmann, préfet des Antiquités de Rome et bibliothécaire de la Vaticane, publie son Histoire de l'art de l'Antiquité. Ce livre date la redéfinition des critères du Beau en opposition absolue avec le Baroque, marquant la naissance du Néoclassique.
Traité des délits et des peines, de Cesare Beccaria, qui critique le système pénal en vigueur à Milan.