Le Beau-Dieu, au trumeau du grand portail du Jugement Dernier de Notre-Dame de Paris, est une des œuvres les plus connues d’Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume.Détail du Monument à Honoré Daumier, Grand place de Valmondois.
En 1885, Geoffroy-Dechaume est nommé directeur du musée de sculpture comparée (actuel musée des monuments français). Geoffroy-Dechaume reçut aussi commande de nombreuses statues et monuments officiels. Il demeura au no 13 quai d'Anjou à Paris, locataire de Mme de Borneville, ainsi que Karl Daubigny, Alfred Gérente, et Prévost[Lequel ?], à deux maisons d'Honoré Daumier.
Dans son ouvrage La sculpture romantique , Luc Benoist remarque que Geoffroy-Dechaume ne participa à aucun Salon[3].
Dans l'intimité de l'atelier. Geoffroy-Dechaume (1816-1892), sculpteur romantique, Paris, Cité de l'architecture et du patrimoine, du au . Cette exposition propose une immersion dans l’atelier d’un sculpteur au XIXe siècle afin de montrer le processus créatif inventif et fécond d'Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume. Par la diversité et la qualité des objets présentés, cette exposition révèle les différentes étapes de la création au travers de croquis, dessins, photographies, estampes, cires, moules, plâtres originaux, moulages sur nature, objets révélateurs des pensées premières de l’artiste. Ces traces émouvantes, laissées derrière lui dans le secret de l’atelier, témoignent du travail d’un artiste dont la finesse et l’inventivité n’ont d’égale que sa capacité érudite à restaurer la sculpture monumentale[6].