Liurette devient secrétaire de l'Assemblée nationale en janvier 1955[3], Albert Liurette a siégé dans les commissions de la famille et de la santé publique, des territoires d'outre-mer ainsi qu'à la commission des pensions. Le nouveau député, très effacé durant les premières années de la législature, n'intervient qu'à partir de 1954 et exclusivement sur les questions de l'outremer. Il s'intéresse particulièrement à l'organisation municipale et au statut des fonctionnaires africains. Il participe assez activement à la discussion des crédits du ministre de la France d'outre-mer pour 1955. Les votes sont conformes aux consignes du groupe parlementaire SFIO, généralement dans l'opposition hormis la parenthèse Mendès France. Le 30 août 1954 il a voté la motion Aumeran, s'opposant ainsi à la ratification du traité de CED.
En 1956, Albert Liurette ne s'est pas représenté à l'Assemblée.