Hameau historique de la commune, l'ensemble du territoire de La Voutillière est inclus dans le bourg de Champagne-au-Mont-d'Or mais subsistent des riches demeures et quartiers anciens qui traduisent du passé du lieu.
Relief
Le point culminant est situé sur le Mont-Louis, au nord-ouest du centre-ville à 308 mètres d'altitude[2],[3].
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Hydrographie
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Voies de communication et transports
Desserte routière
Le principal axe de circulation est la RD 306, ancienne RN 6, qui traverse la commune du nord au sud, entre les communes de Limonest et de Lyon. Elle correspond aux avenues Général de Gaulle et de Lanessan.
L'autoroute A6 traverse la bordure ouest du territoire communal sur environ 800 mètres.
Transports en commun
Quatre lignes des TCL sillonnent la voirie communale :
la ligne relie la gare de Lyon-Vaise dans le 9e arrondissement de Lyon aux communes de Limonest, Lissieu et Chasselay (avec des services jusqu'à Saint-Germain-au-Mont-d'Or). Elle traverse Champagne sur son axe principal en empruntant les avenues de Champagne, de Lanessan et Charles de Gaulle et dessert six arrêts. En outre, certains services, dans le sens aller le matin et dans le sens retour en fin d'après-midi, suivent un itinéraire plus à l'ouest, comprenant trois autres arrêts, en poursuivant par le chemin du Tronchon jusqu'à la limite avec Limonest ;
la ligne relie la gare de Lyon-Vaise à Lissieu en empruntant un itinéraire dans Champagne identique à celui de la ligne 21 ;
la ligne en provenance de Saint-Just dans le 5e arrondissement de Lyon via Gorge de Loup, Vaise et La Duchère, dessert l'ouest de la commune et six arrêts en empruntant l'avenue de Montlouis puis le boulevard de la République jusqu'à son terminus Champagne-Écoles sur une voie réservée au début de la rue Pasteur (à sens unique) qu'elle emprunte ensuite dans le sens retour, puis de nouveau l'avenue de Montlouis, en marquant cinq arrêts seulement ;
D'autre part, les lignes C14, 10/10E, 19, 89, S11 et S15 desservent certains arrêts à proximité immédiate des limites de la commune.
Enfin la partie du territoire de Champagne située à l'ouest de l'A6 est accessible par l'arrêt Moulin Berger de la ligne 89, tout proche mais situé sur Dardilly.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 789 mm, avec 9,1 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brindas », sur la commune de Brindas à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 717,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
Typologie
Au , Champagne-au-Mont-d'Or est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10].
Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 123 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (91,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (73,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (55,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (21 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (15,4 %), forêts (8,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
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Histoire
Époque romaine
L'histoire du territoire communal à l'époque romaine est mal connue. La fondation de Lugdunum, la future Lyon en 43 av. J.-C. a des conséquences sur les territoires alentours : construction de voies, d'aqueducs, de fermes et villas destinées à l'approvisionnement de Lugdunum. En l'absence de sources textuelles, épigraphiques ou iconographiques, seules les découvertes archéologiques permettent d'établir quelques faits relatifs à Champagne.
La fourniture en eau de Lugdunum nécessite la construction successive de quatre aqueducs, dont deux traversent ou sont contigus à la commune actuelle :
Aqueduc des monts d'Or : il vient capter l'eau dans les monts d'Or au nord de la ville romaine et l'achemine jusqu'au site de Fourvière. Mal daté, il traverse la commune sur 1 300 à 1 400 mètres[CAG 69 1] et a été repéré en plusieurs endroits : au lieu-dit Bidon en rive droite du ruisseau de Limonest, au bourg, et à l'amont du siphon qui rejoint Écully et Tassin-la-Demi-Lune.
Aqueduc de la Brévenne : celui-ci suit la crête entre Champagne et Dardilly mais il n'en existe plus aucune trace si ce ne sont quelques pierres et briques dispersées[CAG 69 1].
L'approvisionnement en eau et en nourriture de la ville voisine implique la présence de fermes de cultures aux alentours et il n'est pas exclu que le territoire communal ait été le cadre de telles installations, notamment en présence des aqueducs[C 1] et de la découverte de céramiques, de briques et de tuiles antiques[CAG 69 1]. Le réseau de voies rayonnant autour de Lugdunum mis en place par Agrippa traverse peut-être la commune[C 1] bien que rien ne vienne attester cette hypothèse.
En 197 eut lieu la bataille de Lugdunum, opposant les troupes de Clodius Albinus, gouverneur des Gaules retranché dans Lugdunum et l'empereur Septime Sévère[C 1]. Elle a pu se dérouler sur le territoire actuel de Champagne et de Vaise, mais d'autres lieux ont été également proposés et aucune découverte archéologique ne vient préciser cette hypothèse.
Du Moyen Âge à la Renaissance
Vers l'an 1000, il existe un important domaine agricole dépendant de la puissante abbaye d'Ainay, la Villa Campana in agro Monte auriacensi qui a donné son nom à la contrée[C 2].
Pendant des siècles, Champagne demeure une vaste zone cultivée sur la paroisse de Saint-Didier-au-Mont-d'Or. On note toutefois la présence du hameau de La Voutillière dès 1378[C 2] dont les origines remontent peut-être à l'Antiquité[16]. Repéré sur la Carte de Cassini sous le pluriel Les Voutillières, cette toponymie traduit la présence de quatre hameaux sur le territoire. Rattaché à la paroisse de Saint Didier pour la collecte de la dîme, le territoire était partagé entre le seigneur de Saint-André pour la partie nord et le seigneur de Saint-Cyr, chanoinecomte de Lyon pour la partie sud. Au-delà du hameau principal, des fermes isolées se trouvaient le long du chemin de Saint-Didier à Lyon. Étymologiquement, la toponymie remonte au bas Moyen Âge et serait basée sur le terme voulte qui signifiait tournant sans préciser s'il s'agit du virage d'un chemin, de l'aqueduc des monts d'Or, du ruisseau de Rochecardon ou d'un ouvrage en forme d'arc de cercle. La partie nord du hameau porte le nom de Bidon, nom emprunté à une importante famille qui posséda les lieux.
Au XVIIe siècle, plusieurs moulins sont construits au fond du vallon des Voutillières pour moudre le blé, dont le dernier cessera son activité en 1956 après avoir été utilisé, depuis le XIXe siècle, pour mouliner la soie utilisée par les canuts de La Croix-Rousse.
De 1749 à 1751, on trace une route entre Limonest et le haut de la montée de Balmont, qui ne sera empierrée qu'en 1787 et deviendra un tronçon de la route impériale de Paris à Lyon puis de la route nationale 6. Champagne n'est alors qu'un hameau que les documents cadastraux datant de la Révolution française permettent de situer à l'angle des actuelles avenue Lanessan et rue Dellevaux.
Tout au long du XIXe siècle, Champagne se développe principalement le long de cette voie pour devenir une bourgade active de 600 habitants. Sans aide extérieure[réf. nécessaire], les habitants parviennent malgré tout à réunir les 60 000 francs nécessaires à la construction de l'église qui est consacrée en 1864. La localité se dote également d'une école, d'une compagnie de pompiers et ouvre son propre cimetière en 1884. Elle est aussi bientôt raccordée aux réseaux d'eau et de gaz avant d'être reliée à la grande ville par un tramway de la Société Anonyme du Tramway d'Écully en 1898. Lors de l'absorption de cette société par l'OTL, la ligne prend le numéro 21[17].
L'indépendance religieuse acquise, il reste à obtenir l'autonomie administrative. En 1875, les Champenois demandent la reconnaissance de Champagne en commune à part entière mais ils sont déboutés par le Conseil d'État. Après plusieurs tentatives, ils obtiennent le soutien décisif de Monsieur de Lanessan, ministre de la Marine grâce auquel la loi du 30 décembre 1900 sépare Champagne de Saint-Didier-au-Mont-d'Or et l'érige en commune distincte.
Le , Champagne-au-Mont-d'Or naît avec le XXe siècle. Une cérémonie officielle se déroule le 11 août de la même année autour d'un banquet de 147 couverts en la présence de Monsieur de Lanessan.
Le a lieu en mairie la réception de Vincent Auriol, président de la République[C 3]. L'inauguration du groupe scolaire Dominique Vincent se déroule le en présence d'Édouard Herriot, accompagnée d'un banquet fêtant le cinquantenaire de la commune. Le , la commune entre dans la Communauté urbaine de Lyon nouvellement créée.
Le nouveau siècle s'ouvre par les célébrations du centenaire de Champagne les 5, 6 et 7 janvier 2001 avec notamment le spectacle Il était une fois Champagne, la route raconte… donné à l'Espace Monts d'Or. Interprété par des habitants de la commune et des associations culturelles, musicales, théâtrales et sportives, il connaît un vif succès auprès du public champenois.
La commune connaît de nombreux travaux de construction, d'aménagement ou d'embellissement :
2002 : réfection des allées du cimetière, création d'une piste de skate.
2003 : remise en état du parc des cèdres, reconstruction des façades de l'église, rénovation des gymnases.
2005 : réfection de la rue Jean-Marie Michel et du parc de jeux des Lutins.
2006 : inauguration de la place de la Liberté, ouverture de la bibliothèque municipale et du centre de loisirs du Coulouvrier.
2007 : extension de la crèche des Pastourelles, requalification de l'avenue de Lanessan.
2008 : installation des services techniques dans de nouveaux locaux avenue de Lanessan.
2009 : ouverture de la médiathèque Le 20.
2012 : réaménagement de la place Ludovic Monnier ainsi que des abords de l'église.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1901. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].
En 2021, la commune comptait 5 936 habitants[Note 4], en évolution de +4,49 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Établissement public qui regroupe une école maternelle composée de 6 classes, allant de la petite section à la grande section, et une école élémentaire composée de 12 classes du CP au CM2. Le groupe scolaire dispose d’une bibliothèque, d’un espace périscolaire ainsi que d’un restaurant gérés par le pôle Enfance-jeunesse de la commune qui propose aussi une garderie du matin, des activités récréactiv et étude ainsi que des ateliers découvertes.
L’école Les Chartreux Saint-Joseph (image à téléverser)
Établissement privé catholique sous contrat d’association avec l’Etat est composé de 2 classes maternelles et de 4 classes élémentaires. L’école Les Chartreux Saint-Joseph accueille une classe pour l’inclusion scolaire (ULIS) à destination d’enfants atteints de troubles des fonctions cognitives. L’école organise un accueil périscolaire et un service de restauration pour les enfants scolarisés dans son établissement.
Le collège Jean-Philippe Rameau
Le collège Jean-Philippe Rameau (image à téléverser)
Établissement public qui accueille près de 600 élèves.. Il dispose de salles ECLA (ECole de L'Avenir) qui sont des espaces pédagogiques innovants, autant pour les professeurs que pour les élèves. Les nouvelles technologies, qui y sont déployées, conduisent à de nouvelles pratiques pédagogiques. Cet établissement fait partie du réseau learning lab des grandes écoles[33],[34].
Santé et services sociaux
La crèche des Pastourelles est créée en 1989 dans des locaux nouveaux de la rue Pasteur. Elle peut alors accueillir 21 enfants. En 1996, un premier agrandissement étend sa capacité à 32 places. Enfin, l'extension de 2007 porte désormais l'effectif à 50[réf. nécessaire].
Équipements culturels
Espace Monts-d'Or. Situé chemin des anciennes vignes, à proximité de l'autoroute, il est construit en 1992-93 sous la municipalité de M. Javaud sur un terrain surplombant le stade. Cette salle comporte un espace divisible pouvant accueillir jusqu'à 700 personnes, une scène avec des loges et une cuisine. Elle est utilisée pour des concerts, des spectacles, des fêtes d'associations ou des repas.
Médiathèque « le 20 ». Située au 20, boulevard de la République, elle ouvre ses portes le avant d'être inaugurée le 10 octobre suivant. Elle comprend un espace jeunesse et une salle de conférence de 90 places au rez-de-chaussée et l'espace adultes à l'étage.
Sports
Le club de footballChampagne Sport Football est créé en 1968. En juillet 2020, il est intégré au sein du nouveau club GOAL FC qui regroupe également Monts d'Or Anse Foot (MDA), Tassin FC et Futsal Saône Mont d'Or[35].
Cultes
Catholique : Depuis 2018, Champagne-au-Mont-d'Or fait partie d'un ensemble paroissial qui inclut également Ecully, Dardilly et la Duchère. Cet ensemble appartient au diocèse de Lyon, à l'archidiaconé de Lyon et au doyenné de Dardilly-Écully-Vaise. La paroisse est desservie par le père Martin Charcosset et ses vicaires Marc Jocteur-Monrozier et Thierry Coquard.
Économie
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Entreprises et commerces
Champagne est située sur le périmètre de Techlid, pôle économique ouest du Grand Lyon. L'animation de celui-ci était assuré par l'association du même nom dont la commune faisait partie avec cinq autres communes dont Dardilly et Limonest et qui a été dissoute le [36]. À vocation essentiellement tertiaire, le pôle économique, désormais géré par le Grand Lyon, regroupe en 2018 plus de 6 000 établissements et 40 000 emplois[37].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Mairie : construite comme presbytère en 1871, transformée en mairie en 1907, elle fut surélevée d'un étage en 1978.
Église Saint-Louis-Roi : érigée en 1862 en style néo-gothique, consacrée le 12 juin 1864, elle aura coûté 60 000 francs. En 2003, les bardages métalliques ont été remplacés par des façades en pierres dorées, de nouvelles ouvertures en forme d'ogives ont été ajoutées. Enfin, l'édifice a été mis en lumière et un accès pour personnes à mobilité réduite a été créé.
Croix de pierre, érigée en 1804 par Jean Dellevaux, à l'angle de l'avenue de Lanessan et de la rue Dellevaux.
Croix de pierre, au 34, rue de la Mairie. Sur le socle, l'inscription O Crux ave spes unica est en partie effacée.
Monument aux morts : situé au milieu du cimetière, il est construit en 1921 sur les plans de l'architecte Sériziat par un marbrier champenois M. Sklénard. En forme d'obélisque, sur ses faces sont gravés les noms des morts de la commune lors des différents conflits : 1 en 1871, 39 en 1914-18, 6 en 1939-45, 1 en Indochine et 2 en Tunisie.
La Malmaison, maison bourgeoise entourée d'un parc située au cœur du hameau de la Voutillière, ancienne propriété de Léa et Napoléon Bullukian.
L'église Saint-Louis Roi.
Croix à l'angle de l'avenue de Lanessan et de la rue Dellevaux.
Détail du socle avec l'inscription : Construite l'an 12 par la piété de Jean Delev
Croix du 34, rue de la Mairie
Monument aux morts
Patrimoine naturel
Limite naturelle entre la commune et celle de Saint-Didier-au-Mont-d'Or, le vallon de Rochecardon est un espace naturel en partie préservé de l'urbanisation. Un sentier de découverte botanique et zoologique y est aménagé.
La commune est signataire de la charte « zéro pesticides » de la FRAPNA[38].
Archives et généalogie
Registres paroissiaux depuis 1583 (à Saint-Didier) et d'état civil depuis 1901.
Dépouillements généalogiques :
Délibérations municipales depuis 1901.
Personnalités liées à la commune
Jean-Marie de Lanessan (1843-1919), homme politique, parlementaire, ministre de la Marine dans le Gouvernement Pierre Waldeck-Rousseau, il apporta un appui décisif dans l'adoption de la loi créant la commune. Son nom a été donné à la principale artère traversant la commune (ex-Nationale 6, aujourd'hui D 306).
Napoléon Bullukian (1905-1984), entrepreneur d'origine arménienne qui possédait sur la commune La Malmaison. Il légua ses biens à la Fondation de France pour créer la Fondation Léa et Napoléon Bullukian. Avec son épouse, ils sont inhumés au cimetière de la commune.
Maurice Boucher (1917-1997), élu champenois, président de l'Amicale laïque, président de la délégation départementale de l'Éducation nationale, il a donné son nom à un concours d'éducation civique[réf. nécessaire].
D'argent à la bande d'azur, chargée en chef d'un navire d'argent et en pointe d'un lion du même et accompagnée de deux clefs, celle du chef de gueules et celle de la pointe de sinople et un château d'or à deux portes maçonné de sable brochant sur la bande à la champagne de gueules à trois monts d'or.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Lyon comprend une ville-centre et 122 communes de banlieue.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Anne-Catherine Le Mer, Claire Chomer, Carte archéologique de la Gaule, Lyon 69/2, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres / Ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche / Ministère de la culture et de la communication etc., , 883 p. (ISBN978-2-87754-099-5 et 2-87754-099-5)
↑« Présentation », sur Champagne-au-Mont-d'Or (consulté le ).
↑Carte IGN no 3031 O, Lyon - Chaque courbe de niveau indique une altitude de 5 mètres supplémentaires. La courbe de niveau maximale est située à 305 mètres. L'absence d'une courbe de cote supérieure implique que l'altitude est comprise entre 305 mètres et 310 mètres.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑J.P., « Gaston Lyonnet : un échec de « gouvernance » ? », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).
↑Jean Philibert, « Bernard Dejean quitte la majorité et monte une liste », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Municipales à Champagne-au-Mont-d’Or : Bernard Dejean élu (officiel) », LyonMag, (lire en ligne, consulté le )« Le maire sortant (divers droite) Gaston Lyonnet est battu 40,74%. Son ex-adjoint aux finances le devance largement. Pierre Diamantidis, tête de liste, recueille 59,26 % mais c'est Bernard Dejean qui sera élu maire ».
↑« Bernard Dejean a été élu maire de la commune par le conseil », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Municipales 2020 : Véronique Gazan l’emporte à Champagne-au-Mont-d’Or », LyonMag, (lire en ligne, consulté le ).
↑Jean Philibert, « Véronique Gazan, succède à Bernard Dejean qui ne se représentait pas », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).
↑Brigitte Del Rizzo, « Techlid est morte, vive Techlid ! : La dissolution annoncée de la technopole économique de l’Ouest lyonnais, deuxième pôle tertiaire de la Métropole, a été votée à l’unanimité ce mardi soir à l’Agora de Limonest. Si Techlid meurt, elle ne disparaît pas. Explications », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).