Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » ().
Charles Wugk est le fils d'un immigrant venu de Saxe[1].
En 1838, il s'inscrivit comme étudiant au Conservatoire de Paris où il sera élève jusqu'en 1840. Le surnom de "Sabatier" a dû être ajouté au début de sa carrière professionnelle. Il a été pianiste chez la duchesse de Montpensier[1].
En 1854, il déménagea pour la ville de Québec où il enseigna le piano et joua de cet instrument de musique dans des cercles privés et en public. Il joua également de l'orgue dans diverses églises.
En mai 1860, avec Paul Stevens et Édouard Sempé, il fonda la revue L'Artiste.
À l'occasion de la visite du prince de Galles, il composa sur un livret d'Édouard Sempé une Cantate qu'il dirigea le , avec le concours de 250 chanteurs et d'un orchestre. Cette cantate en l'honneur du prince de Galles comporte une ouverture et neuf numéros chantés.
Charles Wugk Sabatier composa plusieurs œuvres pour piano, notamment des mazurkas, des polkas ainsi que des chansons.