Secrétaire de Colette à partir de 1923, elle écrit un essai sur cette dernière. Le talent de la jeune femme conquit Colette, dès les années 1920, mais ce n'est qu'en 1923 qu'elle devient sa secrétaire. Attachement important entre les deux écrivaines. Fille de libres-penseurs, elle devient royaliste et se réfugie dans la religion. Elle est baptisée en 1928. Colette est sa marraine. La biographie de Colette par Claude Chauvière, paraît en 1931[7].
Elle est critique littéraire à l’Organisation ménagère, publie des notes d'art dans l'Intransigeant. Elle est directrice littéraire pour la France de la Revue française du Brésil[8].
Souvent citée par Colette, Claude Chauvière meurt le Vendredi saint. Personnalité mystique (elle se convertit au catholicisme en 1928), elle meurt prématurément en 1939 d'une congestion pulmonaire.
Œuvres partielles
La Vie, les autres et moi, 1919.
L'ai-je aimé ?, Paris, A. Fayard et cie, (lire en ligne).
Françoise Giraudet, « Claude Chauvière », sur livre-polaire - 2009 - 2017 - Françoise Giraudet, .
Sources
Bibliothèque nationale de France
Notes et références
↑Jean-Marie Schio, Essai sur le patrimoine de Beaufort et la Vallée : mémoires, BoD - Books on Demand, , 512 p. (ISBN978-2-32223-178-2, lire en ligne), p. 52.