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En 1854, il se joint à l'Union libérale et au général Leopoldo O'Donnell lors de la Révolution espagnole de 1854. Peu de temps après, la reine Isabelle II crée pour lui le titre de marquis de Castell-Florite(es). O'Donnell, qui entretient des doutes à son égard, l'envoie à Cuba, en tant que capitaine général de la colonie. Présent en Espagne de 1858 à 1860, il combat de nouveau les carlistes lors du soulèvement de Sant Carles de la Ràpita, et il est fait sénateur pendant ces deux années. A Cuba, il se distingue par ses positions abolitionnistes et s'oppose ouvertement à Julián de Zulueta. Définitivement de retour en Espagne en 1866, il prend part aux complots qui aboutissent à la révolution de 1868. Pendant ce temps, il demeure sur les îles Canaries, car de lourds soupçons pèsent sur lui à cause de ses liens avec le Parti progressiste. Néanmoins, il est l'un des signataires du Manifeste qui lance la révolution. Il retourne ensuite quelque temps à Cuba, où il autorise la liberté de la presse le .