En puis , les différentes Listes vertes (en italien : Liste Verdi) organisent à Florence une assemblée nationale. Lors de celle convoquée en , ils créent une structure nationale, dotée de statuts et d'un règlement uniques. La FLV adopte pour symbole le Soleil qui rit, emprunté aux militants antinucléaires danois.
La première participation électorale de la Fédération est une réussite, puisque les écologistes rassemble plus de 960 000 voix à la Chambre des députés, faisant élire 13 candidats. Ce résultat égale celui du Parti radical (PR), établi sur la scène politique depuis près de dix ans. Au Sénat de la République, la FLV remporte deux sièges et avec 2 % des exprimés, elle devance le PR.
Disparition
Le parti confirme son implantation à l'occasion des élections européennes de , où il totalise sous l'étiquette Les Verts Européens - Liste Verte (en italien : Verdi Europa - Lista Verde, VE-LV) 1 317 000 suffrages. Faisant élire trois députés européens, la FLV surpasse le Parti social-démocrate italien (PSDI), pilier de la vie politique italienne depuis .