À la fin des années 1990, alors que les guitares acoustiques redeviennent à la mode, leurs mélodies sont associées à ceux de sons générés par ordinateur[6]. La parution de Pause de Four Tet en 2001 marque la naissance de la folktronica[2],[6]. La même année, l'artiste britannique Momus sort l'album Folktronic, explorant délibérément (et satiriquement) la fusion de musiques folk et électronique[8]. Le genre atteint un pic de popularité vers 2005, avec la parution de plusieurs albums, parmi lesquels Mother's Daughter and Other Songs de Tunng, Lost and Safe des Books, Everything Ecstatic de Four Tet et The Milk of Human Kindness de Caribou[9].
Notes et références
Notes
↑Le terme « folktronica » est féminin selon l'auteur Christophe Pirenne[1].