Après son retour en France, Terme se consacre au journalisme. En , il rachète à Ernest Feydeau le journal L'Époque, dont il devient le rédacteur en chef[4]. Malgré l'acquisition du quotidien par Auguste Dusautoy puis la nomination de Clément Duvernois en tant que directeur politique, Terme conserve ses fonctions en 1867[5].
En , après la disparition de L’Époque, Terme et Duvernois fondent Le Peuple[6], ré-intitulé Le Peuple français en juillet suivant afin de se différencier d'un journal homonyme[7].
Deux mois plus tard, à l'occasion des élections de 1869, il se présente en tant que « conservateur libéral » dans la première circonscription de la Seine[9]. Avec 2 290 voix (soit 6,5 % des suffrages exprimés), il termine en troisième position, loin derrière les candidats de l'opposition, le sortant Hippolyte Carnot (26%) et l'élu du premier tour, Léon Gambetta (61 %)[10]. Ce dernier ayant choisi de représenter la circonscription des Bouches-du-Rhône où il avait également été élu, un scrutin partiel a lieu en novembre suivant. Terme retente sa chance, sous l'étiquette de « candidat démocrate libéral et constitutionnel »[11] mais il est à nouveau battu, en troisième place, derrière Carnot. Le nouvel élu est l'opposant Henri Rochefort.
L'année suivante, une nouvelle élection partielle a lieu dans la 3e circonscription du Rhône afin de pourvoir le siège de député laissé vacant par la mort d'Hippolyte Perras. Terme envisage de poser sa candidature[12], avant de renoncer.
En 1874, Frédérick Terme rachète le Lyon-Journal, fondé l'année précédente par un autre bonapartiste, Adolphe Ponet[13],[14].
En 1880, Terme devient président du conseil d'administration de la société de transports « L'Urbaine »[3].