Contribuer à la sauvegarde de l'Union française en luttant contre le défaitisme et toute politique d'abandon ; défendre, en tous temps et en tous lieux, les intérêts et droits matériels et moraux des combattants français.
Le Front national pour l'Algérie française (FNAF) lui a brièvement succédé entre juillet et décembre 1960, date à laquelle il est dissous en conseil des ministres[2].