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En 1913, il s'installe dans la banlieue de La Rochelle où sa mère demeurait depuis peu. Il est mobilisé pendant la Première Guerre mondiale, puis revient à La Rochelle.
En 1921, il illustre de quatre bois gravés le livre de Guy Lavaud, Six Images, édité aux Éditions d'Art André puis, en 1923, à nouveau quatre bois gravés pour le recueil de luxe de Francis Carco, Philippe Chabaneix, Tristan Derème et Vincent Muselli, Quatre poèmes. Il illustre de quatre bandeaux et de quatre culs de lampe le livre d'Hector Talvart, Billets à Corentine sur diverses manières de jouir et de souffrir puis, en 1935, le livre de Ferdinand Duviard, Aspects.
En 1926, Charlopeau expose au Nouveau Salon, et sa toile Le Chemin d'Aunis est acquise par l'État pour la Légation de France à La Haye. En 1927, il est nommé sociétaire du Salon d'automne où il exposera régulièrement par la suite. Sa toile L'Orage est acquise par l'État pour le musée des beaux-arts de Nantes. En 1928, il expose au Salon d'automne un Portrait de Geneviève C. et la toile Rue à Lauzières (Aunis)[2].
Ses voyages vont influer sur sa peinture. Il voyage en Espagne en 1928 en compagnie de son ami Aberlado Muro et, de 1928 à 1931, il séjourne plusieurs fois en Provence chez le peintre Jacques Nervat.
En 1933, il passe l'été aux Sables-d'Olonne avec le peintre Albert Marquet.
Gabriel Charlopeau perd la vue en 1945 et ne la retrouve qu'un an plus tard après plusieurs interventions.
En 1957, il peint à Tours, puis à Chaniers et sur le cours de la Charente.