Il doit ensuite faire face dès 1920 à la soviétisation de la Première république d'Arménie, qui l'épargne relativement[1], et refuse dans un premier temps de reconnaître le nouveau régime[4]. Mais le catholicos s'isole peu à peu et finit par laisser l'exercice de ses fonctions à l'archevêque Khorène Mouradbekian[5].
↑(en) Richard G. Hovannisian (dir.), Armenian People from Ancient to Modern Times, vol. I : The Dynastic Periods: From Antiquity to the Fourteenth Century, Palgrave Macmillan, New York, 1997 (réimpr. 2004) (ISBN978-1-4039-6421-2), p. 136.
↑(en) Richard G. Hovannisian (dir.), op. cit., p. 279.
↑(en) Richard G. Hovannisian (dir.), op. cit., p. 357.