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Lorsque son journal est interdit en novembre 1895, André part s'exiler à Rome, où il ne reçoit aucune aide des autorités italiennes.
A la fin de sa vie, alors qu'il est déjà très malade et indigent, il entre à la rédaction de L'Italie, dont il est le rédacteur en chef pendant quelques mois avant sa mort, grâce à l'intervention du capitaine d'état-major de l'Armée de terre italienne (Esercito Italiano en italien), Luigi Durand de la Penne, originaire de Nice et niçois lui aussi.
Strenna nizzarda per l'anno 1873 (I Nizzardi ai loro Fratelli Italiani), Torino, 1873, scritta assieme a Francesco de Orestis, Claudio Giordano, Giuseppe Bianchi, ed Eugenio Emanuel (Étrenne niçoise pour l'année 1873 (Les Niçois à leurs Frères Italiens), Turin, 1873, écrite conjointement avec Francesco de Orestis, Claudio Giordano, Giuseppe Bianchi et Eugenio Emanuel).
Nizza negli ultimi quattro anni[4], Nizza, 1875, testimonianza sui Vespri nizzardi, i moti antifrancesi e filoitaliani del 1871 (En fr., Nice au cours des quatre dernières années, Nice, 1875, témoignage sur les Vêpres Niçois, les Mouvements anti-français et pro-italiens de 1871 ;
Nizza: 1792-1814, Nizza, 1894, testimonianza dell'occupazione di Nizza da parte della Francia nel periodo indicato (En fr., Nice: 1792-1814[2], Nice, 1894, témoignage sur l'occupation de Nice par la France pendant la période indiquée).
Giulio Vignoli, Storie e letterature di Nizza e del Nizzardo, di Briga, di Tenda e del Principato di Monaco, Edizioni Settecolori, Lamezia Terme, 2011 (En fr., Giulio Vignoli, Histoires et littératures de Nice et du Pays Nissart ou Niçois, de Brigue, de Tende et de la Principauté de Monaco, Editions Settecolori, Lamezia Terme, Calabre, 2011.