Il se lance ensuite en affaires à Cobourg. Il y est également agent hypothécaire tout en poursuivant sa carrière d'avocat et en s'impliquant comme conseiller municipal. En 1863, on le nomme conseiller de la reine. Il rencontre des difficultés financières qui l'acculent à la faillite en 1866.
Dans le Canada fédéral, il est élu sans opposition lors des premières élections de 1867 dans Northumberland-Ouest. On ne lui réserve cependant aucun poste au sein de l'exécutif gouvernemental. En compensation, il est nommé orateur de la Chambre. Son passage à la présidence de la chambre ne plaît pas forcément puisqu'il ne sait pas parler français, langue parlée majoritairement par la députation du Québec. Il perd son siège aux élections de 1874. Il parvient à se faire réélire en élections de 1878, mais doit démissionner pour des raisons de santé le .