Il est promu général de brigade le , et le , il est nommé commandant temporaire de Nantes. Le , il défend Le Perrier et il est blessé de deux coups de feu au bras droit et à la hanche droite. Le , à Challans, il repousse les Vendéens et le , il commande l’attaque lors de la bataille de Chalonnes, où il reçut deux blessures au bras[1]. En , il est attaché à la division Caffin, et les 3 et , il participe à la bataille de Mortagne, où il est blessé de deux coups de feu tirés par un insurgé[2].
Transporté à l'hôpital de l'unité à Nantes le , il meurt de ses blessures le .
Émile Gabory, Les Guerres de Vendée, Robert Laffont, 1912-1931 (réimpr. 2009), p. 396, 474
Jacques Charavay, Les généraux morts pour la patrie, 1792-1871 : notice biographiques, Au siège de la société, , 160 p. (lire en ligne), p. 29.
Georges Six, Dictionnaire biographique des généraux & amiraux français de la Révolution et de l'Empire (1792-1814), Paris : Librairie G. Saffroy, 1934, 2 vol., p. 147