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Il se consacre ensuite entièrement au journalisme, collaborant de manière très régulière à la revue d'art L'Œil, de 1961 à 1967, et à l'hebdomadaire France-Observateur.
Il adopte, par auto-dérision, le pseudonyme « Revel », du nom du restaurant parisien Chez Revel[6].
À la fin des années 1970, à la suite de son rachat par le milliardaire James Goldsmith, il devient directeur de L'Express, qu'il quitte en en signe de solidarité avec Olivier Todd, licencié par le nouveau propriétaire du journal[7].
En 1970, il publie son essai politique, Ni Marx ni Jésus, dans lequel il présente les États-Unis comme le fer de lance d'une nouvelle révolution mondiale[8],[9],[10].
Engagement politique
Il s'associe en à un colloque du Comité pour le monde libre très critique vis-à-vis de l'ONU[11].
En 1967, il épouse en secondes noces la journaliste Claude Sarraute. De cette union sont nés le haut fonctionnaire Nicolas Revel, en 1966, et Véronique Revel, en 1968.
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En juin 2024, Jean-François Revel est nommément mis en cause dans une enquête[14] de Libération sur les « hommes de la rue du Bac ». Selon le quotidien, le 23 octobre 2023, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire à la suite d'accusations de sévices sexuels répétés que ces « hommes » auraient fait subir à Inès Chatin pendant plusieurs années alors qu'elle était enfant (de ses 4 à 13 ans)[15].
Les abus et viols auraient été commis par un réseau de pédocriminalité[16],[17], entre 1977 et 1987, sur elle et d'autres enfants, lors de cérémonies secrètes[16]. Ce réseau aurait compris son père adoptif, Jean-François Lemaire, et plusieurs de ses amis[18],[14].
↑Page 644 de l’édition intégrale des Mémoires de Jean-François Revel (Robert Laffont, coll. « Bouquins »).
↑« La Révolution et l'Amérique. Ni Marx ni Jésus, de J.-F. Revel », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
↑Yvon Bourdet, « Jean-François Revel, Ni Marx ni Jésus, Robert Laffont, Paris, 1970 », Autogestions, vol. 16, no 1, , p. 202-205 (lire en ligne, consulté le ).
↑Georges-Albert Astre, « Les États-Unis, "modèle révolutionnaire" ? », Raison présente, vol. 20, no 1, , p. 7-13 (DOI10.3406/raipr.1971.1511, lire en ligne, consulté le ).
↑« Les naufrageurs de l'UNESCO », Le Monde diplomatique, (lire en ligne, consulté le ).