Kempisch legioen

Kempisch Legioen
Écusson de la Légion campinoise

Création	Août 1942
Dissolution	1945
Pays	Belgique Belgique
Type	réseau de résistance armée
Effectif	4 500
Guerres	Seconde Guerre mondiale
Commandant historique	Georges Dupret
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La Légion campinoise ou Kempisch legioen (K.L.) était un mouvement de la résistance armée belge durant la Seconde Guerre mondiale qui opérait en Campine. Cette région s'étend sur la Province d'Anvers, le Limbourg à la frontière avec les Pays-Bas^[1].

Histoire

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En 1942, un rapprochement avec le Mouvement national belge est envisagé mais il n'aboutira pas.

Lors de la libération, la Légion campinoise prit part aux combats. Leur poste de commandement était situé dans la ferme de Victor Gils à Gierle, celle-ci sera incendiée par les Allemands le 21 septembre 1944.

Organisation

La Kempisch legioen était organisée en pelotons qui couvraient plusieurs localités^[1]:

1^er peloton: Turnhout et Oud-Turnhout.
2^e peloton: Mol, Balen, Meerhout, Olmen.
3^e peloton: Weelde, Poppel, Ravels, Arendonk, Retie, Postel, Dessel.
4^e peloton: Kasterlee, Lichtaard, Tielen, Geel, Eindhout, Vorst, Oosterlo.
5^e peloton: Gierle, Wechelderzande, Lille, Poederlee, Vosselaar, Vlimmeren.
6^e peloton: Meerle, Meer, Minderhout, Hoogstraten, Wortel, Merksplas, Rijkevorsel.
7^e peloton: Hulshout, Ramsel, Westmeerbeek, Houtvenne, Herselt, Zoerle-Parwijs, Veerle.
8^e peloton: Westerlo, Tongerlo, Oevel, Herenthout, Morkhoven, Noorderwijk, Olen.
9^e peloton: Herentals, Bouwel, Grobbendonk en Vorselaar.

Commandement

Georges Dupret

Reconnaissance

La Légion Campinoise sera reconnue officiellement comme mouvement de résistance armée le 23 février 1961^[2]

Références

↑ ^{a et b} (nl) Ward Baeten, Het Kempisch Legioen. De dubbele strijd van een verzetsbeweging 1942 - 1944 en 1944 - 1961, Universiteit Gent (lire en ligne)
↑ « Chambre des représentants, session 1968-1969, 27 juin 1969 »^{(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)}

Articles connexes

Résistance intérieure belge

v · m Mouvements de la résistance belge durant la Seconde Guerre mondiale
Mouvements de la résistance a.m. de 1949, 1961 ou 1965	les Affranchis Partisans armés (P.A.) l'Armée de la Libération (A.L.) Armée secrète (A.S.) Front de l'indépendance (F.I.) Insoumis Kempisch legioen (K.L.) L100 Groupe G Milices patriotiques (M.P.-F.I.) Mouvement national belge (M.N.B.) Mouvement national royaliste (M.N.R. - N.K.B.) groupe NOLA Organisation militaire belge de résistance (O.M.B.R.) Service D Witte Brigade-Fidelio
Autres mouvements avant fusion ou non reconnus	Österreichische Freiheitsfront Comité de défense des Juifs Légion belge Armée belge reconstituée Groupe Zéro de Louis Everaert Groupe D du Service de Sabotage Hotton
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Résistance intérieure belge	Résistants belges pendant la Seconde Guerre mondiale Mouvements de la résistance belge : Les Affranchis Partisans armés Armée de la Libération Armée secrète Front de l'indépendance Insoumis Kempisch legioen L100 Groupe G Milices patriotiques Mouvement national belge Mouvement national royaliste groupe NOLA Organisation militaire belge de résistance Service D Witte Brigade-Fidelio Autres groupes : Österreichische Freiheitsfront Comité de défense des Juifs Légion belge Armée belge reconstituée Groupe Zéro Groupe D du Service de Sabotage Hotton SRA : Service de renseignement et d’action Réseau Baboon-Othello Réseau Carol Réseau Clarence Réseau Comète Réseau Luc-Marc Réseau Manfriday Réseau Pat O'Leary Réseau Samoyède Réseau Socrate Service de renseignement Zéro
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Articles connexes	Histoire du Congo belge pendant la Seconde Guerre mondiale