Li fiho d'Avignoun est un recueil de poèmes du félibreThéodore Aubanel écrit et paru en 1885. Cette œuvre, une des toutes dernières de l'écrivain, est un marqueur important dans sa carrière et propose un style sensuel, assez inhabituel pour l'époque et le lieu.
Présentation
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Traduction
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
La première traduction française éditée du recueil date de 1891, éditée à Paris par Albert Savine[1]. Cette édition est préfacée par Ludovic Legré. Aubanel publia sa première édition de façon privée (mais pas anonyme) avec une traduction française en regard.
Éditions
Li Fiho d'Avignoun est le second recueil d'Aubanel, qui rassemble des poèmes « de maturité » (en particulier La Vénus d'Arles). Premièrement publié en 1885 en souscription privée uniquement, il est imprimé par l'Empremarié centralo dou Miejour à Montpellier[2]. Le livre est immédiatement condamné par l'archevêque, avec ordre d'arrêter la diffusion et de brûler les exemplaires saisis. Aubanel ne se remettra jamais vraiment de cette cabale[3].
Paul Roux(de), « À propos de la métrique de Théodore Aubanel : remarques sur les formes strophiques dans Li fiho d'Avignoun », dans Irénée Cluzel et François Pirot (dir.), Mélanges de philologie romane dédiés à la mémoire de Jean Boutière (1899-1967), Liège, Soledi, (BNF35290971), p. 902-910.
René Dumas, « Pour l'histoire des Fiho d'Avignoun de Théodore Aubanel », Lou prouvençau a l'escolo, no 4, .