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Paris, 1984. Une jeune bande banlieusarde, appelée « Les Rascals », aime passer leur temps à faire la fête et à draguer en pleine capitale. Un moment à l'autre, ils finissent par remarquer la venue des boneheads qui se montrent ultra-violents : c'est le début du chaos entre ce mouvement d'extrême-droite et les Rascals[5].
Fiche technique
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.
La sortie est prévue le [12], et repoussée au [3]. Le film réalise 22.510 entrées dans 137 salles sur sa semaine de présence, soit 164 entrées/écran[13]
Critique
Le film a été globalement bien accueilli par la critique avec une moyenne de 3,4 sur Allociné.
Pour Ecran Large, "Les Rascals raconte des oppressions passées pour parler tout haut du racisme actuel, et si le film est d'entrée de jeu hésitant, il ne cesse de monter en régime jusqu'à un final dont la violence touche cruellement juste."[14]
Pour CNews, Jimmy Laporal-Trésor "signe ce qui est, à coup sûr, l’un des meilleurs films de ce début d’année, empli d’une énergie folle et d'un sentiment constant de liberté." [15]
Pour Culturopoing "Jimmy Laporal-Trésor livre avec "Les Rascals" un premier long métrage qui dépose au sein du cinéma français une sorte de petite bombe à fragmentation dont on ne ressort pas indemnes." [16]
Sur 20 Minutes " Les Rascals offre un divertissement spectaculaire pour dénoncer la montée du racisme." [17]
Pour Cinemateaser Jimmy Laporal-Trésor signe un "Préquel à SOLDAT NOIR et à BLACK MAMBAS, l’imminente série sur le thème des affrontements avec les bandes zulus, LES RASCALS pose un univers, historique, réaliste, et pourtant romanesque, au point qu’il fait l’examen de conscience de la société française, à l’aune de l’actuelle montée de l’extrême droite dans le pays. Premier film oui, mais des décors aux costumes, en passant par la psychologie de la France de l’époque, le travail de recherche est admirable et la reconstitution, jamais scolaire, est spectaculaire." [18]
Pour Libération les Rascals "Avancent avec brio entre un romanesque spectaculaire et un réalisme sans concession et retrace la montée des violences et du racisme entre bandes rivales du milieu des années 80. Un souffle de fraîcheur sur le cinéma(...) Donnant sa chance à la fable, Jimmy Laporal-Trésor nous montre avec panache comment on entre dans le cinéma français : en force et en liberté."[19]
Sur Télérama, on peut lire que "Jimmy Laporal-Trésor a 46 ans et le vent en poupe." et qu'il sera "un cinéaste qui va compter"[20].