Franc-maçon, il fut vénérable de la loge « La vraie et parfaite harmonie » de Mons de 1770 à 1777 et substitut du grand maître de la Grande Loge provinciale[1].
↑H. Tarlier, Almanach de la cour de Bruxelles sous les dominations autricihienne et française, la monarchie des Pays-Bas et le gouvernement belge, de 1725 à 1840, Bruxelles, chez l'auteur, 1864, p. 43 ; Bruneel et Hoyois 2001, p. 57-58.
Claude Bruneel et Jean-Paul Hoyois, Les grands commis du gouvernement des Pays-Bas autrichiens : Dictionnaire biographique du personnel des institutions centrales, Bruxelles, Archives Générales du Royaume, coll. « Studia », , 735 p.