C'est le successeur du N810. Il a été annoncé au Nokia World le et fut lancé le aux États-Unis et à la mi-novembre 2009 dans 9 pays européens. Il utilise Linux Maemo 5, un système d'exploitation basé sur Linux développé par Nokia. Contrairement aux tablettes Internet précédentes de Nokia, le N900 est le premier à pouvoir faire office de téléphone (Quadribande GSM, 3G et 3G+). Il possède un appareil photo 5 mégapixels avec autofocus, un lecteur media portable, et une interface Internet gérant messagerie et navigation web.
Le Nokia N900 est livré avec le système d'exploitationMaemo 5, proposant une interface tactile personnalisable, avec de multiples bureaux, icônes, raccourcis et widgets. Maemo 5 supporte Adobe Flash 10.1 (après ajout d'outils dédiés), et inclut des dizaines d’applications optimisées pour la plate-forme mobile et la nouvelle interface tactile comme le lecteur multimédia tactile.
Émetteur FM et récepteur FM (utilise le module Bluetooth)
Vibreur
Situation par rapport aux autres Smartphones
Composants supplémentaires
Sortie télévision composite
Haut-parleurs stéréo
Écran tactile résistif remarquablement précis, permettant l'écriture et le dessin
root shell complet, permettant le contrôle total de la machine
Technologie Flash
Composants manquants
L'écran tactile multipoint ;
Le magnétomètre ;
La gestion des SIM-Services (SIM_toolkit)
Développements ultérieurs
L'arrêt de la distribution de ce téléphone fut considéré par certains comme une erreur marketing de la part de Nokia. En 2013, Jörg Reisenweber (OpenMoko) et Nikolaus Schaller (OpenPhoenux / GTA04), proposent le projet Neo900, héritier du N900, réutilisant de nombreux composants externes (boîtier, clavier, écran, etc.), compatible au niveau logiciel et utilisant essentiellement du logiciel libre[5].