Paolo Ferrero passe ses premières années à Chiotti en Val Germanasca, un hameau de 100 habitants. Puis il s'installe à Villar Perosa.
À 17 ans, il s'inscrit au parti Démocratie prolétarienne (DP). Diplômé à l'Institut technique industriel, il travaille comme ouvrier à la FIAT (au Lingotto à Turin).
Il fait partie de l'Église vaudoise et s'engage dans la Fédération des jeunes évangéliques italiens (FGEI).
Après la dissolution de DP au sein de Refondation communiste en 1991, Ferrero en devient chef du groupe au conseil de Turin. Élu pour la première fois en 2006, dans une circonscription du Piémont, il est nommé ministre de la Solidarité sociale, avec des délégations en matière de politiques sociales, de mouvements de travailleurs non-communautaires, politiques contre la drogue et le service national civil.