Krikor Beledian décrit ainsi son style : « Son esthétique éclectique, symbiose d'éléments parnassiens et symbolistes, dépourvue de drame et de passion, n'a guère connu d'évolution en France. L'exil ne semble pas avoir eu d'effet sur une œuvre qui ignore toute rupture. Célèbre pour sa manie de la précision, Tatoul est resté un artisan du sonnet »[3].
(hy) Հին ու նոր տաղեր, 1907-1940 [« Poèmes anciens et nouveaux, 1907-1940 »] (préf. Archag Tchobanian), Paris, Impr. Araxes, , 128 p. (BNF41375183)
(hy) Ամենայն զգուշութեամբ… [« En toute prudence… »], Paris, Impr. Des Artisans, , 112 p. (BNF41179942)
(hy) Աբու լալա մահարի [« Apou Lala Mahari »], Paris, Impr. H. Djarian, , 112 p. (BNF42018610), inspirée du poème d'A. Issahakian[3]
Le même titre (pièce de théâtre) (ill. Melkon Kebabdjian), Paris, , 112 p.
Certains de ses poèmes sont traduits en français et mis en musique :
2 lieds arméniens (pour une voix avec accompagnement de piano), I. Donne à boire… et II. Buvons !, poésies traduites en français par Édouard Colangyian, arrangement musical par Edgar Manas, Paris, J. Hamelle éditeur, 1923, 12 p. [lire en ligne] (BNF43129146)