Le contenu de Zine Zag[1] est composé principalement de bandes dessinées inédites en noir et blanc. On y retrouve aussi des entrevues et des reportages en lien avec la bande dessinée, au Québec et ailleurs.
Le magazine publie aussi des critiques, des chroniques, ainsi que des comptes rendus de colloques, de festivals et d'expositions sur la BD.
Les collaborateurs sont tous d'origine canadienne et sont francophones venant majoritairement de partout dans la province de Québec.
Historique
Le magazine Zine Zag, édité par les Éditions Publika est publié d'abord de façon bimestrielle avant de devenir trimestrielle au Québec de décembre 1998 à avril 2004 pendant quinze numéros.
Zine Zag porte en sous-titre 100 % BD. D'abord distribué dans la seule ville de Québec pour les premiers numéros, on le trouve ensuite à Montréal, principalement dans les librairies spécialisées[4]. Dans les pages de Zine Zag, il y a un éventail de bandes dessinées couvrant un champ d'intérêt assez vaste, laissant supposer qu'il n'y a pas de contrainte éditoriale d'aucune sorte : satire sociale, humour, polar, science-fiction, poésie, etc[5].
En 2004, son fondateur décide de mettre fin à cette aventure éditoriale collective pour se consacrer à ses productions personnelles en BD.
Quelques-uns de ces artistes travaillent sous un pseudonyme.
Auteurs de bandes dessinées
Les auteurs de bande dessinée québécois sont généralement à la fois dessinateur et scénariste.
Il arrive qu'ils ne pratiquent qu'une seule de ces deux disciplines, travaillant alors en équipe avec quelqu'un de l'autre discipline.
↑Simon Busque, « Zine Zag diffuse les auteurs de bande dessinée », L'Éclaireur progrès/Beauce nouvelle, Saint-Georges, vol. 91, no 15, , p. 3
↑ ab et cMichel Roy, « Le Zine Zag fête son premier anniversaire au Salon du livre », L'Éclaireur progrès/Beauce nouvelle, Saint-Georges, vol. 92, no 11, , p. 22
↑Michel Roy, « Le Zine Zag devient de plus en plus crédible », L'Éclaireur progrès/Beauce nouvelle, Saint-Georges, vol. 93, no 34, , p. 28
↑ ab et cMichel Roy, « Le Zine Zag est une pépinière de bédéistes », L'Éclaireur progrès/Beauce nouvelle, Saint-Georges, vol. 94, no 32, , p. 21
↑François Tremblay, « Culture Côte-du-sud : Le samedi de la BD gratuite », L'Oie blanche – Mon journal local, Montmagny, vol. 32, no 18, , p. 18