Elle est dispersée au début de la guerre, la 2e brigade coloniale est isolée puis rejoint la 76e division d'infanterie (initialement appelée division de Vassart) et la 5e brigade coloniale passe en réserve d'infanterie du corps d'armée colonial.
La division est immédiatement dirigée vers la frontière Nord-Est de la France, les derniers échelons de la division rejoignant les éléments d'active sur le front. Au début de l'hiver, les régiments de tirailleurs sénégalais de la division sont rapatriés vers le midi de la France pour protéger les Africains du climat. Le 12e RTS est dissout le et forme le 12e régiment d'infanterie coloniale (12e RIC), constitué de soldats européens. Un nouveau 12e RTS est créé le (il rejoindra le front en avril 1940 et remplacera le 12e RIC qui sera alors dissous)[3].
Réorganisation
En avril et début mai, les tirailleurs sénégalais rejoignent la division et les deux régiments d'artillerie divisionnaire sont renforcés de contingents africains[3]. La division est jugée bien entraînée et bien équipée[4].
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Le 10 mai 1940, au déclenchement de la bataille de France, la 1re division d'infanterie coloniale est placée entre la forêt d'Argonne et la Meuse, en réserve de la 2e armée[4]. Cette dernière est chargée en premier lieu de protéger la ligne Maginot d'une manœuvre tournante.
La division disparaît le , la plupart de ses éléments capturés dans les Vosges[6] .