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Le : dissolution du régiment.
Seconde Guerre mondiale
Le 7e RIC, régiment de réserve, est mis sur pied le par le centre mobilisateur d'infanterie coloniale n° 188 (18e région militaire, Bordeaux), il est dérivé du 3e RIC[réf. souhaitée] et intégré dans la 7e division d'infanterie coloniale[4].
Le , la 7e DIC intègre le 10e corps d'armée de la 7e armée sur le front de la Somme et se positionne dans la vallée de la Celle. La division, notamment le Ier bataillon du 7e RIC arrivée dès le 23, attaque pour chasser les Allemands d'Amiens. Les assauts se succèdent jusqu'au 27 mais les Français ne progressent pas[4].
La division est ensuite placée en réserve d'armée autour de Noyon. Le 7e RIC combat au nord de cette ville le 7-8 juin[4]. La division terminera la guerre en Dordogne[5].
Stèle à la mémoire de la 7e division d'infanterie coloniale
Après la Seconde Guerre mondiale
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Le régiment dissous fournit l'équivalent d'une compagnie au dispositif mis en place par les Nations unies en Corée.
Une décision officielle confère à son drapeau les décorations du bataillon de Corée. En revanche, les décorations du Régiment de Corée, qui lui a succédé, sont transférées au 156e régiment d'infanterie avec lequel il a fusionné.
Le , le 7e RIMa est dissous.
En 1962, groupement de camp de Caylus. Ce camp devient camp national. Le il devient 38e groupement de camp. Créé au camp de Caylus par transformation de la 36e compagnie de camp[pas clair]. Il a repris les traditions du 24e RIMa de 1984 à 1986 puis le celles du 7e RIMa ainsi il reçoit la garde du drapeau du régiment qui porte à son avers la mention « Corée » (car non gagnée stricto sensu par le 7e RIMa).
Au cours de l'été 2019, le groupement de recrutement et de sélection Sud-Ouest (GRS SO) prend l'appellation de groupement de recrutement et de sélection Sud-Ouest - 7e régiment d'infanterie de marine[1].
Sa cravate est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 avec trois palmes (trois citations à l'ordre de l'armée). Il a reçu la fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 (le ). Il porte les trois flammes bleues des Distinguished Unit Cross attribuées au Bataillon de Corée :
4 citations à l'ordre de l'armée (Corée 1951-1953)
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Signification
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Traditions
La fête des troupes de marine
Elle est célébrée à l'occasion de l'anniversaire des combats de Bazeilles. Ce village qui a été 4 fois repris et abandonné sur ordres, les et le .
Et au Nom de Dieu, vive la coloniale
Les Marsouins et les Bigors ont pour saint patron Dieu lui-même. Ce cri de guerre termine les cérémonies intimes qui font partie de la vie des régiments.
Sources et bibliographie
Erwan Bergot, La coloniale du Rif au Tchad 1925-1980, imprimé en France : , n° d'éditeur 7576, n° d'imprimeur 31129, sur les presses de l'imprimerie Hérissey.
Le 7e régiment d'infanterie coloniale dans la grande guerre : 1914-1919, Bordeaux, Delmas, 146 p., lire en ligne sur Gallica.
↑Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007