Il rejoignit la Fédération jurassienne mais la quitta en 1875. De retour en France à la suite de l'amnistie de 1880, il vécut ces dernières années presque aveugle avec un frère au Vésinet.
Collaborations
Il fut secrétaire de rédaction à la Démocratie, collabora en Suisse à La Révolution sociale, au Travail, et à Paris au Le Petit parisien et au Voltaire. Il fut également rédacteur en chef de la Dépêche de Paris[2].