Ce jardin est le fruit d'une anthropisation menée par un seul homme, Georges Albert Delaselle qui a consacré une bonne partie de sa vie, de 1896 à 1937, à sa réalisation. Vendu en 1938 il est entretenu jusqu'en 1956, puis il est à l'abandon de 1957 à 1985. De 1986 à 1996, d'abord quelques bénévoles puis les membres de l'association créée pour sa sauvegarde décident de se retrousser les manches pour sauver et réhabiliter le jardin. Les besoins sont importants et c'est le Conservatoire du littoral qui prend la suite en 1997.
Géographie
Toponymie
Le jardin est le bouquet d'arbres, en haut à droite sur la photographie, dans cette extrémité de l'île appelée Penn Batz.
Le jardin reste connu, dans la littérature du XXe siècle et dans l'usage, sous le nom que lui avait donné Georges Delaselle[1] de Jardin colonial. Il porte le nom de Jardin Georges Delaselle depuis le [2] en hommage à cet homme.
Penn ar C'hleger est séparé du lieu-ditSainte Anne, où se voient les ruines de l'ancienne abbatiale de ce qui fut le monastère Saint-Paul, par un chemin courant à travers la dune dit Poull Zarab, en léonardMare de la crécelle. Le tarap, en KLTtalab, le r étant roulé en léonard, servait à tirer les moines de leur sommeil pour la prière.
Les rochers de Penn Leoc et l'anse que longe le jardin.
Vue inverse, depuis le jardin.
L'accès se fait plein nord. Du côté occidental, le jardin longe le bord de mer au sud de la plage de Porz an illis, c'est-à-dire Port de l'église. Cent[9] à cent cinquante mètres le séparent du trait côtier méridional et de la pointe du Kleger. Un peu plus de cent cinquante mètres le protègent des embruns venant du large par l'est[9].
Géologie
Le jardin occupe la presqu'île du sud est de Batz dont l'isthme, ici représenté vingt ans avant la venue de Georges Deleselle, est ensablé.
Le sol n'a plus rien de naturel tant il a été remué[9]. Il reçoit régulièrement des apports en matière organiques non seulement pour nourrir les plantes mais aussi pour améliorer la rétention[9] des eaux pluviales ou d'arrosage.
À l'été 1897, Georges Delaselle, asniérois esthète et célibataire âgé de trente six ans qui occupe à la suite de son père un poste de direction aux Assurances Générales, AGF, est invité par son ami Étienne Masson, dont il est inséparable depuis l'âge de dix huit ans, à chercher un pied à terre sur l’île de Batz, que celui-ci a explorée un an plus tôt[1]. Les deux amis logent dans l'unique auberge de l'île, la pension Robinson. Georges Delaselle fait l'acquisition de plusieurs parcelles à l'extrémité orientale de l'île. L'acte notarié est signé le [1]. Le terrain est une lande rase, parcourue de clôtures et d'ajoncs, qui s'étale au pied d'un monticule où culmine un dolmen christianisé.
Au bout du terrain de Georges Delaselle, sur la rive continentale, les arbres de la presqu'île de Perharidy à l'abri desquels les tuberculeux pratiquaient héliothérapies et cures de repos.
Dans un premier temps, Georges Delaselle fait construire une petite maison, destinée aux futurs gardiens, et procède à des échanges de parcelles, à l'acquisition d'autres[1]. Étonné par la présence de nombreux végétaux rares en provenance des quatre coins du monde et acclimatés par les marins de Basse-Bretagne[10] et d'Irlande, où il a séjourné, et encouragé par son ami Jean Dybowski (fondateur du Jardin d'agronomie tropicale de Paris)[11], il décide d’y créer un jardin. Il est inspiré par des villas qu'il a eu l'occasion de visiter, la villa Hambro, propriété biarrote que les Noailles mettent à disposition du Grand-ducAlexandre[12], la villa Rothschild à Cannes, d'autres à Nice... et s'attelle à l'étude de la botanique[1].
Sur un sol sablonneux et meuble battu par les vents de galarne, il conçoit très vite un plan en tranchées. Des plantes coupe-vent seront plantées le long de dunes artificielles et dans les excavations ainsi creusées seront abritées les variétés fragiles.
Dès 1903, il embauche une petite dizaine d'îliens de tous âges équipés de bêches et de brouettes qui entament les travaux[1]. En 1905, il plante sur le pourtour d'une cuvette ainsi tracée une centaine de jeunes plants de pins[1] qui en grandissant serviront de brise-vent.
En 1906, il trace les plans des différentes parties de son jardin. Le plan central sera une pelouse bordée de massifs de fleurs aux tons doux[1]. Il sera prolongé d'un potager, où des serres basses protégeront les fruits et légumes des oiseaux[1]. La cuvette deviendra un jardin colonial, une des composantes où les palmiers seront protégés sur une hauteur de huit mètres, soit l'addition de la profondeur de l'excavation et de la hauteur des brise-vents[1].
Un an plus tard, il fait creuser sur cinq mètres de profondeur la cuvette, dont les bords sont stabilisés en terrasses[1]. Au cours de ces opérations, il fait une découverte inattendue, une nécropole datant de l’âge du bronze.
L'anthropisation par un retraité non conformiste (1918-1937)
En , Georges Delaselle apprend qu'il est atteint de tuberculose pulmonaire[1]. À cinquante sept ans, il prend une retraite[1] anticipée et s'installe à demeure dans la maison de gardien. Sans héritier, il consacre toute sa fortune[1] au développement de son jardin mais ne désespère pas de découvrir le trésor de Paul Aurélien grâce à ses talents de radiesthésiste, pour lesquels il consacre une grande partie de son temps à se documenter et à explorer son terrain[1]. Craint des plus superstitieux mais proche d'un petit cercle d'îliens, dont le peu catholique instituteur Louis Priser qui est nommé à ce poste en 1934, il sacrifie un temps considérable aux plantations et aménagements, ne quittant son jardin que deux fois par semaine pour s'approvisionner[1].
Georges Delaselle trouve les plantes utiles à la protection contre le vent auprès des pépiniéristes de la région de Saint-Pol-de-Léon[10]. Pour les plants exotiques, il se fournit principalement au Jardin colonial de Nogent mais aussi auprès d'amateurs avec lesquels il entretient une correspondance[10]. Il bénéficie aussi des boutures données par des amis propriétaires de villas situées sur la Côte d'Azur, auxquels il rend visite, telle Mélanie de Gaufridy de Dortan, veuve du botanistePhilippe de Vilmorin, qui, locataire durant l'été du château du Taureau, est aussi sa voisine en baie de Morlaix[10].
Dès 1928, l'aride dune, toujours dominée par le calvaire qui sert d'amer aux marins et de but au visiteur, a laissé place à une oasis parcourue par des allées de sable[1] et peuplée de plantes connues des seuls spécialistes[17] mais elle reste fragile, soumise aux aléas des tempêtes[1]. Au moins cent quinze espèces y sont conservées[10] en plein air, dont l'agapanthe rustique, l'Amaryllis belladonne, l'iris tigre, et divers Opuntia.
La Grande Dépression met le rentier Georges Delaselle en difficulté. Le projet initial d'une villa est définitivement abandonné. Cependant la presse a conféré une notoriété locale au « Jardin colonial de l'île de Batz ». Les visites, initialement réservées aux botanistes amateurs ainsi qu'à de rares amis et leurs familles, s'ouvrent à quelques touristes[1].
Le parc de Monsieur Nast (1938-1956)
En , Georges Delaselle, âgé de soixante dix sept ans, vend l'œuvre de sa vie à un Monsieur Nast, un industriel, qui a le souci déclaré de se montrer digne successeur[1]. Celui ci agrandit le domaine et plante une forêt de cyprès, qui est un coupe vent très efficace mais a l'inconvénient de priver de soleil les variétés auxquelles celui ci est indispensable[1]. Le nouveau propriétaire fait éditer une brochure touristique.
Durant l'Occupation, alors que Georges Delaselle se meurt dans la maison qu'il habite au centre du bourg, l'île de Batz est mise en bataille par la Wehrmacht et le jardin colonial est encerclé de barbelé comme le serait un terrain militaire[1].
Le dur hiver 1956 met à mal ce qui persiste de la collection botanique[10] et la propriété est vendue l'année suivante[1].
Le jardin est totalement délaissé. Les ronces l'envahissent[18]. Les troncs d'arbres tombés entravent les passages[18]. En 1975, les jeunes vacanciers sont mis à bucheronner[19], leurs parents à débrousailler[20], mais plus de la moitié des variétés assemblées par Georges Delaselle périclitent. En 1986, elles ne sont plus que quarante neuf à avoir survécu[10]. Quand un visiteur vient s'informer, il lui est répondu que le jardin colonial n'existe plus[1].
En 1986, l'ALPREMAB crée sur la moitié occidentale du domaine un village de vacances[8], le Jardin colonial[18]. Ce sont initialement des cabanes aux intérieurs confortables. Sans fondations, elles sont rapidement démontables et ne nécessitent pas de permis de construire. Le propriétaire, le comité d'établissement de l'Aérospatiale, se voit dans l'urgence de créer un programme d'intervention et commande une étude à un jeune paysagiste parisien, Philippe Feignon[18]. Dès l'automne, des bénévoles du comité d'établissement ouvrent le chantier[18]. Pendant une année, ils se retrouvent le vendredi soir gare Montparnasse, débroussaillent le samedi jusqu'à la nuit, et rentrent le dimanche soir[2].
Les opérations de réhabilitation sont financées par le bénévolat, par le comité d'établissement de l'Aérospatiale, qui défraie les bénévoles et achète le matériel, et par l'ALPREMAB, qui fournit gracieusement le logement[21] jusqu'en 1999.
Le conservatoire botanique (1997-2017)
Le centenaire du jardin est organisé par le conservateur des jardins de Herrenhausen, le docteur Hans-Georg Preißel, qui, entre concerts et conférences, expose la collection d'orchidées[22] de Berggarten. C'est l'occasion pour le Conservatoire du littoral de s'engager à soutenir le projet en devenant propriétaire[22] de cinq hectares[23] qui incluent le jardin. Dès l'année suivante, l'établissement public sollicite le conseil du paysagisteGilles Clément[7].
Une des deux pièces d'eaux aménagées.
En , les deux bombes météorologiques et l'épisode de gel qui suit détruisent quatre vingt pins et cyprès de Lambert qui servaient de brise vent ainsi que tous les plants exotiques non gélifs[21]. L'association Les Amis du jardin Georges Delaselle rédige des demandes de subventions[21].
C'est sous la direction d'un collègue, le paysagiste Guillaume Geoffory-Dechaume[7], qui décèdera prématurément en 2003, que les murets sont reconstruits, les allées sont retracées, une clôture brise vent est montée, des réseaux d'arrosage et d'alimentation électrique sont posés, un bâtiment provisoire pour l'accueil des visiteurs est construit, le puits est réhabilité, un bassin est creusé[21].
Quelques-unes des plantes remarquables introduites depuis la tempête de 1999
À gauche, trois spécimens de Xanthorrhoea, vulgairement appelée queue de kangourou, bonhomme nègre ou arbre à herbes.
En 2015, pour répondre aux problèmes de surfréquentation, Gilles Clément est de nouveau sollicité [7]. Les adaptations sont confiées au paysagiste Pierre Labat[7]. La réhabilitation du jardin se veut fidèle aux composantes fondamentales ébauchées par son concepteur, et les aménagements récents venus le compléter à l’intuition romantique qui fut celle de Georges Delaselle.
En 2018 Haut-Léon Communauté est devenu gestionnaire du lieu et a fait appel à une architecte lannionnaise, Anne Rubin, pour aménager une serre et à une muséographe, ainsi qu'à un scénographie pour aménager une exposition permanente centrée sur Georges Delaselle[25].
Le Jardin est ainsi un véritable conservatoire de la biodiversité mondiale, en préservant de nombreuses plantes en voie d’extinction dans leurs milieux naturels.
Le site marque avec la pointe de Bloscon, où trône aujourd'hui la chapelle Sainte Barbe de Roscoff, la porte occidentale de la baie de Morlaix, qui était vers -4700 à sec et où domine toujours le mausolée de Barnenez visible à l'œil nu, le futur Batz n'étant alors pas une île.
Cimetière de l'âge de bronze
Il ne reste que dix kistvaen(en), littéralement cistes de pierre. Assimilées par la tradition aux navires de pierre sur lesquels les saints légendaires seraient par miracle venus de la province de Bretagne, elles sont typiques de la civilisation qui, avec l'apparition du cheval domestique, a commencé d'émerger à l'âge de bronze final, vers -1000, sur les deux rives de La Manche occidentale, là où prospéraient jusque vers -1500 les civilisations du Wessex et des tumulus armoricains. Ce sont des tombeaux plus modestes que ces derniers, contemporains de la culture de Hallstatt, avec laquelle l'aristocratie marchande osisme entretenait des échanges culturels importants comme en témoigne le précieux collier à boules en électrum et au calibre dégressif qui a été découvert sur la rive continentale à Tréglonou et qui date vraisemblablement du VIe siècle av. J.-C.
Ciste en pierre ressemblant à un dolmen miniaturisé. Le degré de reconstitution n'est pas documenté.
Prieuré Bath Paul
Les ruines de l'abbatiale Sainte Anne, église romane incendiée par les gardes nationaux en 1798 qui s'est effondrée en 1860, se trouvent à moins de cent cinquante mètres de l'entrée du jardin.
Le jardin Georges Delaselle et le village de vacances Le Jardin colonial s'étendent sur un site qui a été celui d'un monastère de grande taille[1], lequel ne peut être que rapproché des restes de l'abbatiale Sainte Anne voisine et de l'hagiographie de Paul Aurélien. Les ruines du village qui s'étendait autour du monastère lui-même se voyaient encore en 1811[1]. Une église paroissiale, Notre Dame du Pénity, a disparu sous les sables sans laisser de trace. Un nombre indéterminé de pierres a été déplacé lors du creusement puis de l'aménagement du jardin colonial.
Le prieuré Batz Paul, dépendance de l'abbaye Saint-Melaine de Rennes riche de ce qui s'appelait en ancien français son « peçoi », prospère de 1158 jusqu'aux tempêtes de 1699, 1715 et 1722, qui provoquent d'importants ensablements et un déplacement des habitations à Kerantraon, autour d'une chapelle Saint Nicolas, remplacée en 1873 par l'actuelle église du Bon Secours. La Révolution achève de le ruiner.
Le Conservatoire du littoral, propriétaire depuis 1997, délègue par convention à l’associationLes Amis du jardin Georges Delaselle, créée en 1989, les tâches d’entretenir le jardin, faire évoluer la collection botanique et accueillir le public.
L'association, présidée par Richard Reymann, ancien de l'Aérospatiale, regroupe plus d’une centaine d’adhérents et rémunère quatre salariés permanents. Les ressources financières sont les cotisations, la vente des billets d'entrée et la revente de livres, cartes postales et divers objets dans le magasin de la billetterie. Elle adhère au réseau promotionnel APJB[29] et, par son intermédiaire, au CPJF[30].
Visites
La liaison maritime au départ de Roscoff est assurée toutes les demi-heures par les Vedettes de l'île de Batz (prévoir heures de pointes). Depuis la jetée du port de l'Île de Batz, l'accès se fait à pieds (vingt minutes) ou à vélo, soit un kilomètre et demi plein de charme et de points de vue. Animaux non admis.
Tarif adultes, 5 €, étudiants et adultes en groupe, 4 €, enfants 2,5 €. Guide, 30 €. Prix de la traversée, 9 €, demi tarif pour les enfants.
Ouverture du 1er avril au , tous les jours de 11h à 18h.
Gestion de l'eau
En période estivale, il est nécessaire en l'état de puiser l'eau du puits creusé par Georges Delaselle[1] et redécouvert à la suite de la tempête de 1999[21] mais aussi de procéder à des arrosages à partir de l'eau de ville, qui est acheminée depuis Roscoff[9].
Gu. Baily Daujon, Là-Batz : le roman d'une île., Intervalles, Paris, 2012, 176 p. (ISBN9782369561033).
Il sert de cadre au dénouement du roman de Pascal Garnier, La théorie du panda, Zulma, Paris, 2008. (ISBN978-2-84304-435-9).
Notes et références
↑ abcdefghijklmnopqrstuvwxyzaaab et acR. Reymann, « Histoire de Georges Delaselle », in Coll., Le Jardin Georges Delaselle, Les Amis du jardin Georges Delaselle, Batz, décembre 1991.
↑ abcd et eAn., « L'Histoire du jardin Georges-Delaselle », in Coll., Le Jardin Georges Delaselle, p. 16, Les Amis du jardin Georges Delaselle, Batz, 2017 (ISBN978-2-9560451-0-6).
↑ abcdefghijklm et nG. Clément, « Un jardin d'exception », in Coll., Le Jardin Georges Delaselle, p. 54-55, Les Amis du jardin Georges Delaselle, Batz, 2017 (ISBN978-2-9560451-0-6).
↑ abcdef et gAn. « La collection de Georges Delaselle », in Coll., Le Jardin Georges Delaselle, p. 48-49, Les Amis du jardin Georges Delaselle, Batz, 2017 (ISBN978-2-9560451-0-6).
↑Bernard Simon. Hommes et destins: Tome XI Afrique noire, p. 288 (Ed. L’Harmattan) / sous la direction de Jacques Serre. [1]
(ISBN978-2-296-54603-5)
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↑Pardé, Bulletin de la Société de dendrologie de France, p. 106, 1908.
↑J. Cambry, Ann. É. Souvestre, Voyage dans le Finistère, ou, Etat de ce département en 1794 et 1795., p. 36, Come fils aîné & Bonetbeau fils, Brest, 1835.
↑C. Moal, in La Dépêche de Brest, Brest, décembre 1930.
↑ abcdefg et hAn., « L'Histoire du jardin Georges Delaselle », in Coll., Le Jardin Georges Delaselle, p. 15, Les Amis du jardin Georges Delaselle, Batz, 2017 (ISBN978-2-9560451-0-6).
↑An., « L'Histoire du jardin Georges Delaselle », in Coll., Le Jardin Georges Delaselle, p. 17, Les Amis du jardin Georges Delaselle, Batz, 2017 (ISBN978-2-9560451-0-6).
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↑ a et bAn., « L'Histoire du jardin Georges Delaselle », in Coll., Le Jardin Georges Delaselle, p. 23, Les Amis du jardin Georges Delaselle, Batz, 2017 (ISBN978-2-9560451-0-6).
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↑Guénaëlle Daujon, « Le jardin de l’île de Batz fait peau neuve », Journal Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le ).
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Les Amis du Jardin Georges Delaselle (Titre de couverture :Île de Batz : Le jardin Georges Delaselle), Le jardin exotique Georges Delaselle, Châtillon, les Amis du Jardin Georges Delaselle, , 60 p., 14x21 cm (BNF35508865), p. 17-18.
A. Goudot, Le tour de l'île de Batz, Le Bigorneau langoureux, Île-de-Batz, 1997, 33 p.
Richard Reymann (ill. Dominique Mansion), Île de Batz : Jardin Georges Delaselle, Actes Sud & Éditions locales de France, coll. « Conservatoire Du Littoral », (réimpr. 2001), 3e éd. (1re éd. 1997), 46 p., 9cm x 19cm (ISBN978-2-7427-9021-0).
Claire Lecorbeiller, « Le rêve tropical de Georges Delaelle », dans La Bretagne des jardins, Rennes, Ouest-France, (ISBN2-7373-2630-3), p. 42-45.
Denis Clavreul, Le jardin de l'île de Batz : Histoire illustrée du jardin exotique de Batz créé par Georges Delaselle, Paris, Gallimard, coll. « Carrés de jardin », , 72 p., 21.3 x 1.2 x 21.6 cm (ISBN978-2-7424-2021-6, présentation en ligne).
Collectif (préf. Gilles Clément, titre original : Le jardin Georges Delaselle. 1897 - 2017 : 120 ans de passion), Le jardin Georges Delaselle, Ile de Batz : Association Les amis du jardin Georges Delaselle, , 126 p., 18x26 cm (ISBN978-2-9560451-0-6).