Le programme de Vivant propose notamment l'instauration d'un revenu de base pour chaque citoyen en remplacement de la sécurité sociale. Le parti propose également d'alléger la fiscalité sur le travail et de la remplacer par taxe sociale supplémentaire sur les produits. Cette mesure repose sur l'idée que c'est le consommateur qui paie et non le producteur, créant ainsi une proportionnalité entre les contributions d'une personne à la communauté et le montant qu'elle dépense.
La stimulation de l'économie de proximité, la protection de l'environnement et la garantie de l'égalité des chances (y compris sur le plan financier) font partie de ses principes directeurs. Le parti se qualifie donc à la fois de libéral et de progressiste.
Résultats électoraux
Si Vivant a beaucoup fait parler de lui lors de sa création[réf. souhaitée], les scores électoraux restent limités dans les tranches des 1 à 2%.
En juin 2004, pour les élections régionales de Bruxelles-Capitale, Vivant s'est associé au Vlaamse Liberalen en Democraten (le parti libéral flamand) pour former un cartel électoral VLD-Vivant, ce qui lui a valu d'être représenté au parlement bruxellois. Ce rapprochement a été encouragé par l'introduction d'un seuil électoral fixé à 5% qui était difficilement atteignable pour Vivant. Les partisans bruxellois francophones de Vivant se sont vu proposer de voter pour un parti néerlandophone, ce qui est loin d'être anodin et n'a pas fait l'unanimité en leur sein[réf. nécessaire].
En revanche, en Communauté germanophone de Belgique, Vivant a doublé son score de 1999 et récolté 7,34 % des voix. Ce qui lui a permis d'avoir deux élus au Parlement de la Communauté.