1451 : Johannsen Funcken met au point un procédé chimique utilisant le mercure pour séparer l’argent du cuivre (le minerai de plomb argentifère était jusque-là le seul employé)[3].
1484 : création de la Junta dos matematicos par le roi Jean II de Portugal. Elle est chargée d'examiner les propositions d'exploration maritime et donner des conseils sur leur faisabilité[4].
1410 : mise en marche de la pražský orloj, l'horloge astronomique de Prague, contre le mur de l'hôtel de ville, réalisée par Mikuláš de Kadaň et le professeur de mathématique à l'université de Prague Jan Šindel. Elle est améliorée par le maître Hanuš (Jan Růže) vers 1490[6].
1496 : l’astronome Juif Abraham Zacuto, professeur à l’université de Salamanque, réfugié au Portugal après 1492. rédige un Almanach perpétuel, traité en hébreu publié en latin en 1496, exposant le calcul de la hauteur angulaire du soleil[16].
1499 : publication de l'Almanach nova plurimis annis des astronomes Johannes Stöffler et Jacob Pflaum ; ils prédisent pour un second déluge et la fin du monde à cause d'un alignement de planètes et du Soleil[17].
1411 : tombe de Xia Quan (1348-1411), médecin à Jiangyin (Chine), contenant une collection d’instruments médicaux et des textes consacrés à la médecine du XIVe siècle[20].
Après 1493 : la syphilis, généralement mortelle, se répand par Séville et l’Italie (« mal de Naples ») dans toute l’Europe jusqu’en 1526, puis ses effets diminuent dès la seconde partie du XVIe siècle. Les marins contaminent jusqu’à Ceylan. Dès 1506-1507, on rencontre les premiers cas en Chine[23].
Améliorations cartographiques à la suite des explorations autour de l'Afrique par les Portugais, et des premières explorations vers l'ouest.
1401-1406 : traduction en latin de la géographie de Ptolémée par Jacopo d'Angelo (imprimée à Rome en 1478)[25]. L’ouvrage démontre la rotondité de la terre. Par un calcul erroné, il place le continent asiatique à la longitude du Mexique. Il place au sud de l’Équateur l’énorme masse d’un continent qui rejoindrait l’Afrique et l’Asie.
1436 : mappemonde du cartographe vénitien Andrea Bianco, établi à Londres, reproduisant les avancées portugaises jusqu’au cap Vert et au cap Rouge. Il dessine l’île de Stocka (de l’anglais stock-fish, « morue salée »), qui pourrait être Terre-Neuve ; il mentionne également Antillia, une île à l'ouest des Açores[29].
1439 : carte du Majorquin Gabriel de Vallsecha incluant les Açores[30].
1457 : la carte du monde génoise est dressée (anonyme, aujourd'hui au Palais Pitti)[32].
1457-1459 : le religieux camalduleFra Mauro réalise une mappemonde[27]. Il recueille suffisamment de renseignements auprès de voyageurs vénitiens pour dresser une carte de l’Éthiopie approximative. Il corrige la carte de Ptolémée, estimant que la mer Indienne est un océan et non une mer intérieure et estime la distance séparant les côtes de l’Europe et de la Chine avec une marge d’erreur très inférieure à celle de Ptolémée et des chiffres totalement erronés dont s’inspirera Christophe Colomb.
: lettre du cosmographe florentin Paolo Toscanelli au chanoine portugais Martins, se basant sur les erreurs répandues par Martin de Tyr. Il situe le Japon à 2400 milles à l’ouest des îles Canaries (à moins du quart de la distance réelle)[33].
1483 : Routier du Portugais Pierre Garcia, dit Ferrande, ouvrage décrivant la nature et la profondeur des fonds marins, les amers et l’accès aux ports[36].
Vers 1485 : découverte en 1960, aux archives départementales de la Gironde, d’une carte hydrographique de l’Afrique atlantique dessinée par Pedro Reinel. Elle décrit avec précision le tracé des côtes de l’Europe et de l’Afrique jusqu’au point extrême atteint par Diogo Cão au-delà du golfe de Guinée[37].
1405-1433 : exploration de l'océan Indien par la flotte chinoise conduite par Zheng He (1371-1434)[42]. Selon les récits, les plus grands navires chinois dépassent 122 m de long. En 1957, des fouilles conduites sur le site du chantier naval de la flotte de Zheng He ont mis au jour un barrot de gouvernail en bois de 11 m de long[43], ce qui correspond à un navire de 146 à 160 m de long.
1441 : première caravelle attestée, permettant de poursuivre l’exploration de la côte africaine par les portugais, utilisée par Nuno Tristão , qui rejoint Antão Gonçalves[47]. Il s’agit d’un bateau entièrement nouveau, d’environ 50 tonneaux, avec un seul plancher, un pont surélevé à l’arrière et deux mats portant des voiles triangulaires. Elle doit sa maniabilité à la superficie de sa voilure, le double de celle de bateaux de même tonnage. Elle permet notamment la navigation à la bouline, ou progression en zigzag contre le vent[48]. Une quinzaine de marins suffisent à la manœuvrer. Elle est conçue pour contrer les difficultés du retour de Guinée (vent debout et courant inverses) en permettant de gagner le large et les Açores pour retrouver Lisbonne. Les Portugais s’initient avec elle à la navigation de haute mer.
1444 :
les marins portugais, explorant les côtes de l'Afrique sous le commandement de Dinis Dias, découvrent l'île de Gorée, qu'ils baptisent « Palma »[49].
le marchand vénitienNicolò de' Conti obtient le pardon du pape Eugène IV pour son apostasie. Pendant 25 ans, il a parcouru l’Inde, séjourné en Birmanie, en Indonésie, en Indochine, avant de rejoindre Le Caire en 1437. Bloqué deux ans dans la ville, il doit se convertir à l’islam avant de parvenir en Italie en 1441. En guise de pénitence, Eugène IV lui impose de dicter le récit de ses voyages à son secrétaire particulier Poggio Bracciolini, dit Le Pogge et de rapporter toutes les informations géographiques qu’il a pu réunir[50]. Il envisage la possibilité de rejoindre l’Inde en faisant le tour de l’Afrique.
Vers 1479-1481, Christophe Colomb écrit à Paolo Toscanelli qui l’encourage dans son projet de route par l'océan Atlantique vers la Chine[52]. Il est éconduit par les Portugais à deux reprises (1484 et 1488). Ceci pour deux raisons : les Portugais connaissent les distances réelles entre le Japon et les îles Canaries (10 600 milles), et n’envisagent pas de remettre en cause le monopole d’État instauré en 1474.
1481-1495 : le roi de Portugal envoie deux ambassades sur le Haut Niger entre 1481 et 1495[53]. L'une, partie de la Gambie, se compose de Rodriguez Rabello, Pero Reinal et Joao Collaçao ; on ne sait pas si elle parvient au Mali. L'autre, envoyée par le gouverneur d'Elmina, parvient auprès du Mansa qui lui remet une lettre[54].
1482-1486 : voyages du Portugais Diogo Cão. Il découvre l'embouchure du fleuve Congo et la rade de Luanda, en Angola (1482-1483) puis atteint le cabo do padrão, (aujourd'hui Cape Cross, en Namibie), point le plus au Sud de l’Afrique jamais atteint par les Européens (1485-1486)[55].
Vers 1485 : la caraque, dérivée de la cogue (kogge), mise au point semble-t-il par les Biscayens, devient le navire marchand ordinaire de l’océan et de la Méditerranée[56].
1494-1499 : voyage de deux négociants génois, Girolamo da San Stefano et Girolamo Adorno. Ils descendent la mer Rouge, font étape à Massaoua en Éthiopie, puis s’embarquent d’Aden pour Sumatra. L’île est divisée en petits royaumes musulmans, qui exportent du poivre, du benjoin et de l’or. San Stefano y rencontre un fonctionnaire local qui parle italien. Les Génois parviennent en Birmanie où meurt Adorno, tandis que San Stefano retourne à Ormuz, où il se met au service des Syriens[60].
1497 : Vasco de Gama passe le Cap de Bonne-Espérance et atteint l'Inde[57]. La Caravelle employée lors de l’expédition de Bartolomeu Dias, est remplacée à partir du voyage en Inde de Vasco de Gama par des navires ronds, des nefs, plus rapides et de plus fort tonnage (500 à 600 tonneaux)[61]. Ils sont munis de trois mats, dont deux sont équipés de voiles rondes (vitesse), le troisième, en poupe, conservant sa voile latine. Ils permettent d’embarquer des pièces d’artillerie et de charger le ravitaillement d’un équipage doublé par rapport aux pratiques de la navigation européenne.
1396 : première représentation connue d'un avant-train mobile sur un sceau de Francesco da Carrara, dispositif permettant aux véhicules hippomobiles de manœuvrer plus facilement[62].
1420 : Jan Žižka, homme de guerre, invente le système des chariots blindés (Wagenburg), armés de lames de faux, qu'il utilise à Sudoměř[64].
1424 : première représentation d'un vilebrequin ; le couple bielle-manivelle, inventé par Al-Jazari et décrit vers 1400 dans le Bellifortis de l'ingénieur militaire allemand Konrad Kyeser avec un volant « inertiel, est une invention capitale transformant le mouvement rotatif en mouvement alternatif par excentrique, est utilisé pour actionner des moulins, des scies muent par des roues hydrauliques, des pompes ou pour concevoir des rouets à ailettes et des tours à pédale[65],[66]. Les plus anciennes représentations de ce système se trouvent également dans l'Anonyme de la Guerre Hussite, manuscrit allemand daté des environs de 1430[67]
Vers 1430 :
l'invention du ressort moteur permet la miniaturisation des horloges, qui deviennent portative (attestées en France en 1459). Un horloger de Nuremberg, Peter Henlein, aurait inventé vers 1510 la première montre de poche, dite Œuf de Nuremberg[68].
Vers 1480 : première écluse à quatre têtes construite en Allemagne du Nord réalisée sur l'Elbe, à Palm près de Lauenburg, dans le cadre du canal de Stecknitz mis en service en 1398 avec 17 écluses de retenue simples[73].
Entre 1438 et 1448 : mise au point des caractères mobiles d’imprimerie à Strasbourg et à Mayence (Fust, Gutenberg). Vers 1444, Gutenberg améliore l'encre d'imprimerie et permet par là l'impression recto-verso. Le premier livre imprimé est une Bible en 1455[79].
1444-1446 : imprimerie hébraïque à Avignon de l’orfèvre pragois Procope Waldvogel et du « Juif du pape » Davin de Caderousse[80].
1447-1455 : l’orfèvre Gutenberg installe un atelier d’imprimerie à Mayence. Il résout le problème de l’assemblage des caractères et de la presse. Il améliore l'imprimerie par l'utilisation de caractères mobiles et imprime sur ses presses un manuel scolaire, la grammaire latine de Donatus, datée de 1451[81] puis la Bible de Mayence à 42 lignes (1452-1455).
Vers 1460 : la gravure sur bois est d'usage courant pour illustrer les livres[82].
1466 : Johann Fust de Mayence, le commanditaire de Gutenberg, vend ses livres imprimés à Paris en les faisant passer pour des manuscrits. Il meurt de la peste le [83].
1470-1480 : plus de cent-dix ateliers d’imprimerie se créent en Europe occidentale, dont une cinquantaine en Italie, une trentaine en Allemagne, huit en Hollande, cinq en Suisse, deux en Bohême, neuf en France et huit en Espagne[88].
1471 :
première imprimerie en Hongrie de l’Allemand André Hess[64].
1475 : imprimerie hébraïque établie à Reggio de Calabre par Abraham ben Garton ben Itzhak. Le premier livre publié en hébreu, un commentaire de Rachi sur le Pentateuque, est daté du [93].
Entre 1480 et 1489 : une centaine d’ateliers d’imprimerie se créent en Italie, en France et en Espagne. En 1485, il y a cent dix imprimeries en Europe, dont cinquante en Italie et neuf en France. Il y a des imprimeries à Haarlem et Leyde en 1480.
Entre 1490 et 1499: une quarantaine d’ateliers d’imprimerie se créent en Italie, en France et en Espagne. En 1495, Venise imprime un quart des livres en Europe.
Publications
Vers 1410 : publication de l'Imago mundi de Pierre d'Ailly, ouvrage de cosmographie employé par les navigateurs pour les grandes découvertes, imprimé en 1478. L'ouvrage le fait apparaître comme un précurseur de Copernic.
1424 : Risālā almuhītīyya (« Traité de la circonférence ») du mathématicien perse Al-Kashi. Il donne un calcul de π avec 16 décimales
1444-1446 : l'humaniste Flavio Biondo rédige Roma instaurata, le premier traité d'archéologie avec l'ouvrage de Poggio BraccioliniLes ruines de Rome et le pouvoir de la fortune (1431-1448)[95].
1481 : publication à Venise des Promptuarium medicinse, compilation de remèdes tirés des médecins grecs, latins et arabes, écrite par Jacopo Dondi (1293-1359), médecin padouan du XIVe siècle.
1482 : la traduction latine des Éléments d'Euclide de Campanus de Novare est imprimée pour la première fois à Venise sous le titre de Preclarissimus liber elementorum Euclidis.
1484 :
Tryparty en la science des nombres de Nicolas Chuquet (publié en 1880) : exposants, correspondance entre progression arithmétique des exposants et progression géométrique des puissances.
1486-1488 : Arbolayre, herbier publié en français à Besançon par Pierre Metlinger[96].
1489 : Behende vnnd hübsche Rechnug auff allen Kauffmanschafften, traité d'arithmétique commerciale du mathématicien allemand Johannes Widmann. Première apparition dans un livre imprimé des signes plus et moins.
1494 : parution à Venise du livre du franciscain Luca Pacioli (1445-1514), Summa de arithmetica, geometrica, proportione e proportionalita. Il rassemble toutes les connaissances mathématiques de l’époque et aide beaucoup au développement de la comptabilité en partie double (Des livres de comptabilité existaient auparavant à Florence et à Gênes, sans partie double).
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