Dans les années 1830, après l'échec de la compagnie initiée par Garnier, puis celle de Mellet et Henry, la concession de la ligne de Montpellier à Cette, accordée le , échoit finalement, en 1837, à un groupe de financiers parisiens dirigé par le baron de Mecklembourg et auquel est associé le constructeur anglais Thomas Brunton. La société anonymeSociété anonyme du chemin de fer de Montpellier à Cette est fondée en et les travaux sont menés d' à .
En 2016, selon les estimations de la SNCF, la fréquentation annuelle de la gare était de 318 813 voyageurs[1].
Service des voyageurs
Accueil
Gare[2] SNCF, elle dispose d'un bâtiment voyageurs, avec guichet, ouvert du lundi au samedi, fermé les dimanches et jours fériés. Elle est équipée d'automates pour l'achat de titres de transport.
Un souterrain permet le passage d'un quai à l'autre.
Un parc pour les vélos et un parking pour les véhicules sont aménagés[2]. La gare est desservie par des bus urbains.
Projet
Cet article ou cette section contient des informations sur un projet ferroviaire.
Il se peut que ces informations soient de nature spéculative et que leur teneur change considérablement alors que les évènements approchent.
Fin 2016, il est annoncé le déménagement de la gare sur l'emplacement de l'ancienne raffinerie Exxon-Mobil avec une éventuelle ouverture du chantier de la nouvelle gare vers 2020[3]. L'échéance n'est pas tenue.
En 2023, le Conseil régional d'Occitanie, la Ville de Frontignan et l'intercommunalité Sète Agglopôle Méditerranée détaillent les contraintes de la gare de Frontignan (dont l'absence d'accessibilité aux personnes handicapée) et les atouts du projet de nouvelle gare Frontignan - La Peyrade associé à un « pôle d'échanges multimodal » sur le site de l'ancienne raffinerie, avec une ouverture annoncée pour 2028[4].